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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 14:17
Une chambre rouge, dont les rideaux tirés ne laissent aux bougies qu'à remplir la pièce d'une lumière timide mais chaleureuse, comme cette jeune femme allongée au travers du grand lit. Sur la table quelques fraises essaiment un parfum sucré presque estival. Pourtant, le mois de novembre et son cortège de morosité et de frimas sévit à l'extérieur. Mais dans cette chambre il règne un climat de chaleur qu'électrisent la jeune femme et l'homme.
 
Lui se tient debout près de la fenêtre donnant sur la rue principale. Un halo de buée cercle une partie de la vitre. « Une petite coupe de Champagne ? » « Avec plaisir  », répond la jeune femme.
 
Célia est l'avatar d'une Venus, non pas la beauté immuable des spectres sur pages glacées de magazine. Tout juste ces petites imperfections qui donnent à un être toute la puissance et l'expression de son charme. Elle a le sourire rieur et son être tout entier exhale une assurance effarouchée presque coquine.
 
Le champagne taquine les pommettes. « C'est drôle nous ne nous connaissions pas et là nous prenons une coupe dans cette chambre...»
 
Célia se tût et dégusta sa coupe de champagne, ayant ôté ses chaussures à talons qu'elle avait porté toute la journée, regardant l'homme dos à elle qui dégageait un charisme impressionnant. Il était beau dans cette lumière des plus tamisée, et tout en imaginant le corps de ce jeune homme sous son complet, elle sentit une douce chaleur l'envahir.
 
Etait-ce l'effet du champagne, ou bien l'ambiance qui régnait dans cette pièce ? Il se retourna avec sa coupe de champagne à la main, et longea de son regard des plus pénétrants le corps alangui de la jeune femme, lentement comme s'il l'effeuillait, jusqu'à croiser son regard qui, avec les bougies lui donnait une couleur ocre presque d'or..
 
Telle la bulle de champagne dont la légèreté l'accompagne au sommet de la coupe, le regard du jeune homme fit tendrement frissonner la jeune fille qui éclipsa l'organdi qui élançait sa silhouette. Les épaules désormais nues laissaient deviner une silhouette des plus féminines...
 
 Un instant de silence électrique anima la pièce. « Viens t'asseoir auprès de moi », lança-t-elle L'homme s'exécuta. Il était maintenant au niveau de ses jambes. Une main vient effleurer la plante du pied puis s'y atèle. La deuxième vient la rejoindre. Commence alors un massage qui rapidement accélère la respiration de la demoiselle.
 
D'une grande élégance, Célia laisse une jambe sans l'autre. Ce petit geste anodin permet d'entrevoir le haut de ses cuisses et le grain de peau paré de ses points du plaisir. Doucement les mains remontent, retire un bas puis le second. La jeune femme se laisse faire. "Vous reprendriez bien une autre coupe ? » demanda l'homme d'un ton rassurant, « nous avons laissé les fraises ? » «  Nous aurons tout le temps de nous rafraîchir avec ce philtre enivrant. Occupez-vous de moi je brûle de désir. Cependant je vous laisse le loisir de liberté à votre imagination. »
 
 Il ne fallut pas longtemps pour que la jeune fille s'aperçut de la toile de flanelle tendue entre les jambes du garçon. Callimaque s'agenouilla et pratiqua la plus envoûtante des danses de baises. Comme un rituel divin, une marche aux offrandes, les lèvres parcouraient les pieds puis la jambe entière dans un crescendo sensible de la respiration de Célia. Bientôt la main vient rythmer la danse. Juste là derrière la cuisse sous le galbe de la fesse, elle effleure l'objet de convoitise. Une goutte ruisselle sur sa main. 

Désormais l'odeur des bougies n'est plus le seul signe olfactif en présence. Ce parfum est certainement la quintessence des parfums. « Embrasse-moi », lui murmura-t-elle, puis plus fort, « j'ai envie de toi, envie de toi entièrement je ne veux plus qu'une union, qu'un seul corps !!! ». Elle délaçât sa robe qui fit émerger une explosion de charme...
 
 
A ces mots Callimaque s'approchât de la jeune femme et lui déposa le plus doux et le plus sensuels des baisers ; de deux bouches qui se rejoignent délicatement, leurs lèvres s'enflammèrent, se cherchant, se mêlant fougueusement mêlés à leurs soupirs qui se firent plus chauds tels le brasier d'un feu qui est ranimé. 
Debout, dans ses plus beaux sous-vêtements, Célia frissonne, elle brûle de désir pour cet homme, pour ce corps encore vêtu et brûlant contre le sien, pour ce désir naissant qu'elle sent tendre sous le fin tissu du pantalon de Callimaque. Ses joues sont aussi rouge que le velours qui décore cette chambre, et elle veut s'offrir à lui. 
Lui sait que cette femme lui est offerte, et il veut la savourer entièrement, comme la pêche la plus juteuse et sucrée qu'il existe dans son jardin d'Eden ; il la veut dans ses derniers retranchements, prête à se donner entièrement à lui. "Chut, ne dis rien et laisses-moi faire" et à ces mots, sa main glissa le long du cou de la jeune femme, descendit délicatement sur ses épaules faisant glisser la bretelle en dentelle noire de ce soutien-gorge tendu à l'extrême par son opulente poitrine, frôlant au passage le galbe de son sein de ses doigts fins. Il continua son chemin repassant le long de son cou pour faire glisser la deuxième bretelles, et déposa un doux baiser sur ces jolies épaules qui frissonnèrent à ce contact des plus sensuels. 
Elle avait envie de lui, et de sa peau, elle voulait sentir son torse brûlant entre ses doigts, caresser et humer, embrasser et lécher....mais c'est lui qui menait la danse et qui l'emmenait dans un tourbillon de sens, du plus doux au plus fort.
 
Le tourbillon des sens provoqué par la situation est des plus érotiques. Célia est allongée sur le dos. Après avoir dégrafé son haut noir, Callimaque s'entreprit à gagner du temps sur une issue que les deux acteurs connaissaient désormais. La respiration haletante de Célia permettait à Callimaque de battre la mesure. Sa langue tournoyait maintenant autour de la corolle de sa poitrine toute durcie d'excitation. La langue explorait ce corps.
 
Entre les deux êtres, l'impression d'une entente entre les deux êtres faîtes depuis des années, permettait dans la pièce une grande complicité. Délicatement, Callimaque retira le carré de tissu dentelé qui cachait encore la toison de Célia. Sa langue et ses lèvres embrassaient tendrement cette zone brûlante. Avec l'aide de ses bras, ce dernier entreprît d'ouvrir doucement les jambes de Célia. La bouche au plus près de son antre, Callimaque s'enivre des parfums féminins. La langue glisse à la commissure des cuisses. Un petit râle aigu de Célia lance les hostilités. Toujours avec ses jambes dans ses bras, la langue explore le fruit tout humide. Son bouton est enflé de désirs.
 
Callimaque s'interrompt un instant, laissant Célia toute chancelante, les cuisses toujours écartées offrant son intimité intégrale à la vue de cet homme, pour ôter sa chemise doucement. Célia le regard avec ces yeux de velours, ces yeux d'envie, elle a envie de toucher son torse si beau, d'explorer son grain de peau, d'en humer le parfum, de coller sa poitrine tendue sur le corps de Callimaque.
 
Il se penche un instant vers elle, frôlant de son corps les tétons durcis de désir, et dépose un doux baiser sur ses lèvres entrouvertes. Célia profite de cet instant pour l'enserrer de ces cuisses, elle veut prolonger le contact de cette peau, passe une main dans ses cheveux, et lui dévore la bouche telle une lionne affamée.
 
Le désir de Callimaque ne se fait point attendre, le pantalon prêt à craquer tellement son envie est puissante pour cette femme nue, magnifique avec ces douces formes. La flanelle glisse le long de ses jambes et soucieux du détail celui-ci retire ses chaussettes. Célia est là devant lui les jambes nettement écartées avec un regard d'attente et d'impatience. N'est-ce pas là, la beauté étincelante, un corps de femme emplie de désir s'offrant au jeune homme.
 
Dans la lumière de la bougie, Célia peut observer le regard de son amant. Ses yeux verts taillent les esquisses de deux noisettes. Callimaque veut prendre son temps. Il vient s'allonger nu à côté de sa promise. Désormais les deux corps occupent un bel espace sur les draps de soie ocre. Ils s'embrassent comme si en un instant la passion avait élevé ses deux êtres dans un échange charnel quasi spirituel, bien loin de la bestialité que caractérise souvent le
stupre.
 
Ils s'embrassent et les mains se promènent à la découverte de chaque cm2 de peaux à la conquête de leur plus profonde intimité. Les lèvres de Célia sont douces et ses baisers tendres mais soutenus. Célia décident alors que les lèvres de son partenaire n'étaient plus assez pour elle. Très délicatement elle s'emploie à réaliser ce que Callimaque avait fait précédemment: l'exploration et l'apprentissage du corps de son amant.
 
Sa langue et ses lèvres chaudes descendent le long du torse du jeune homme pour embrasser l'éperon de son compagnon. Là goulûment elle embrasse le sexe de son homme et commence un mouvement de va-et-vient très efficace. Callimaque l'arrête. « Attends, je voudrais encore m'occuper de toi plus encore ». D'un mouvement rotatif, la croupe de Célia se retrouve à présent sur le nez de Callimaque. Après quelques minutes passées ainsi les deux êtres dégagent une excitation mutuelle sans commune mesure. Une odeur glamour emplit la pièce.

D'un geste, Callimaque s'empare de la bouteille de champagne et positionne Célia sur le dos les jambes bien écartées et les genoux remontés. Très délicatement celui ci laisse échapper un filet de champagne sur le bas-ventre de sa promise. Le contraste de fraîcheur fait frémir la vénus. La langue participe activement, les mains également. Célia prend à son tour la bouteille et tente une nouveauté, les bulles ressenti le long de sa verge dure comme de l'ébène ne laisse pas Callimaque indifférent. Pour s'apaiser les deux êtres s'embrassent à nouveau tendrement.

« Je veux à présent que tu viennes en moi, » dit Célia.  « Je suis maintenant ta promise dispose de moi comme tu l'entendras ». Elle n'avait pas fini ses mots que de sa bouche elle enfila un capuchon indispensable sur l'objet de son
désir.
 
Tristan l'a regardât un instant, si belle et si féline avec ces cheveux courts tout ébouriffés, ses seins lourds et tendus tels deux fruits des plus succulents, ses hanches généreuses, son petit ventre rond si doux à caresser. 
Il s'approchât de sa bouche, et elle prit délicatement son sexe tendu entre ses mains, déposa un baiser sur le bout avant de l'habiller de son écrin de latex rose transparent. Enfin elle allait l'avoir en elle, le sentir au plus profond de son antre... 
« Fais-moi l'amour » furent les derniers mots qu'elle lui donnât de sa bouche, avant de ne s'offrir complètement à lui, les pupilles aussi foncées que la panthère prête à bondir sur sa proie. Les jambes largement écartées, Célia fulminait d'impatience adossée au lit. Délicatement Callimaque entreprit d'introduire son gland turgescent dans cette petite fente humide. La demoiselle se cambrât essayant de conquérir centimètre après centimètre. « Viens » dit elle soupirant de plaisir.

Mais le jeune homme est bien décidé à honorer comme il se doit une si belle femme. Il l'éperonne après quelques instants. Le cri qui s'échappe de la bouche de Célia est une véritable explosion de plaisir. Dans le même temps sa langue lui taquine les corolles de sa belle poitrine. Ils s'embrassent dans un mouvement continu de va-et-vient.
 
Célia se retourne et présente son joli Callipyge. Callimaque l'éperonne à nouveau tout en n'oubliant pas de titiller ces jolies fesses offertes à lui. Il la retourne à nouveau et assis en tailleur ils s'étreignent en s'embrassant de manière presque amoureuse. Le rythme s'accélère. Célia demande à son amant d'être original pour finir... elle jouit. Tout en caressant le bouton qui lui donnera son deuxième orgasme Callimaque se retire.
 
« Prends-moi les fesses » susurre sous l'excitation notre belle Célia. L'amant s'exécute, le plaisir n'en est que plus grand mais il est déjà temps de s'abandonner et Callimaque se retire et en retirant le capuchon macule le bas du dos de sa partenaire du plus bel effet.

Dans les bras l'un de l'autre Callimaque et Célia entreprennent de se raconter leur vie. Callimaque va faire couler un bain et rejoint les bras de sa douce. La nuit ne fait que commencer...
Par Dita - Publié dans : Récits d'éros
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