Mercredi 19 mars
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10:50
La première fois que j'ai découvert ces divines huiles de massage, j'étais chez
Rebecca RiIls à Pigalle. J'étais venue essayer quelques tenues affriolantes (mais le prix l'est moins) et j'avais craqué pour les senteurs multiples et délicates des
huiles Shunga.
Ma première huile fût "Libido", un doux parfum de fruits exotiques qui vous donne envie de dévorer...
Ce que j'aime dans ces huiles, c'est qu'il n'y a pas besoin d'en mettre beaucoup dans les mains pour qu'elles se déposent délicatement sur le corps à masser.
Ma seconde, je l'ai acheté ce weekend, chez "Passage du désir" : Celle parfum champagne-fraise, alors là je vous dit que c'est une tuerie cette huile.
Je la trouve plus douce en parfum que celle aux fruits exotiques, et elle vous laisse un délicate odeur sur le corps à croquer...
Testée et approuvée ce weekend même ! Un délice, que dis-je l'extase....
Et en plus ces huiles une fois pénétrées dans la peau, ne sont pas grasse, et vous rendent la peau toute douce.
Alors courez vite les acheter, et les tester dans leurs différentes déclinaisons, sans modération.
Par Dita
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Publié dans : Mon shopping coquin
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Mardi 18 mars
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20:21
C'est au cours d'une petite promenade du weekend avec mon meilleur ami que j'ai découvert "Le passage du désir".
Mais de quoi parle t-elle ? J'y viens, j'y viens.
Je parle d'un charmant magasin d'accesoires coquins en tout genre, pas du tout glauque dans lequel j'ai trouvé de petites merveilles.
Le lien du magasio, c'est ici :
http://www.passagedudesir.fr/boutique/
Vous avez un coin avec tout une gamme pour les plaisirs du corps (massages), puis un petit coin de fringues sexys, un corner de très beau sex-toys (on dirait des oeuvres d'art à mettre en vitrine),
un autre avec tous les sex-toys tendances (dont le fameux rabbit en plusieurs déclinaisons), et un petit coin de petits gadgets rigolos (de jeux de société ludiques) et de petits livres "Osez" (la
fellation, le bondage, etc...).
Que du bonheur, pour toutes les bourses, pout tous les petits délires, pour pimenter ces soirées à deux, trois ou plus selon les affinités.
Bon dans un autre billet, je vous parlerai de mes achats fait là-bas, et bientôt un autre billet pour vous parler d'un petit site d'achats coquins où j'ai fait une petite commande pas sage du tout
(Je vais la chercher demain à la Poste).
Par Dita
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Publié dans : Mon shopping coquin
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Vendredi 14 mars
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10:31
Pourquoi avoir choisi ce livre ? Le titre déjà , puis la quatrième de couverture qui m'a interpellé : roman autobiographique d'une violence extrême physique et morale.
La rencontre de Florence et JP, puis de Florence et Nathalie, puis un trio infernal qui se compose et se décompose. Elles se cherchent à travers leur masochisme ! Découverte pour Florence, latence
pour Sandrine, et JP dans tout cela ! Il est là ? Les révèle t-il ou alors n'est-il que l'instrument comme le fouet ou la cravache qu'il, elle, elles utilisent ?
Voici le commentaire tiré sur amazon.fr : Ils se sont rencontrés à l'université. J.-P. a tout de suite su que Florence était faite pour "ça". Florence a vite senti que sous le
fouet et les coups, elle accédait enfin au plaisir. Puis Nathalie les a rejoints et, à la découverte des bonheurs sadomasochistes, se sont ajoutés ceux de l'homosexualité.
Pourquoi ces deux jeunes femmes aiment-elles leurs rôles de victimes ? Qu'est-ce qui fait qu'elles ne sont vivantes que lorsque leur peau est à vif ? De nombreuses réponses sont
proposées. Souffrances enfouies qui se révèlent. Retour au cri déchirant de la naissance. Désir de se donner jusqu'à s'abstraire, jusqu'à se vider de ce que l'on refuse de soi. Dans tous les cas,
chercher à se libérer. Le masochisme comme expérience quasi mystique. Comme thérapie. Si l'idée n'est pas si nouvelle (on pense à La Nuit l'après-midi de Caroline Lamarche), le roman mérite notre intérêt ; parce qu'il pose et
repose cette question : que voulons-nous vraiment de l'autre lorsque nous l'aimons ? --Isabelle Rossignol --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible
de ce titre.
En effet à travers leurs masochismes, il y a la question de l'amour. Qu'attendre de l'amour de l'autre ? L'acceptons-nous pour lui faire plaisir, l'aimons-nous à travers une
image de soi ?
Que dire de plus ? Encore un libre que j'ai dévoré, qui m'a fait mal de l'intérieur, qui donne envie de crier, qui donne aussi envie d'aimer.
Je vous le conseille tout simplement.
Par Dita
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Publié dans : Mes lectures
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Jeudi 13 mars
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11:14
Préface :
Vivant est un adolescent qui passe ses vacances dans le midi, au bord de la mer. Il surprend les jeux érotiques d'une voisine dont il va tomber éperdument amoureux. Peu à peu celle-ci va en
faire l'esclave de ses fantasmes. Un jour, Vivant tente de se rebeller. Il commet alors un acte qui déchaînera la vengeance de son amie. Cette vengeance diaboliquement étudiée et conduite s'étend
tout au long de la dernière partie du roman. Elle passe par une succession d'outrages qui auront finalement raison de Vivant.
Vivant Lanon est avant tout un jeune homme fou d'amour. Fou, c'est-à-dire prêt à tout pour obtenir d'une femme les sentiments passionnés qu'il lui porte. L'histoire de cette passion extrême,
cruelle, érotique et fatale se déroule à la manière d'un implacable roman policier.
En voici également un passage des premières pages : http://www.pol-editeur.fr/catalogue/ftp/pdf/232.pdf
Mes impressions :
Dès les premières pages nous sommes emportés dans l'univers d'un garçon de 17 ans en proie à ses premiers émois.... Dure réalité de sa vie dominée par une femme, puis des
femmes, La Femme... pour finir tristement.
On se prends à aimer ce personnage, à s'attendrir sur ses souffrances morales et physiques, à vouloir un peu le sortir de sa naiveté.
Car pour moi il est naif au sens premier du terme, et un peu aveuglé peut etre par la Passion qui finalement aura commencé dès le début à le ronger pour au final le détruire.
J'ai trouvé ce livre touchant d'émotions, cruel dans ces jeux érotiques qu'il découvre, et qu'il accepte pour ELLE ! Il prêt à tout pour ELLE d'ailleurs !
Pauvre homme....
Je vous le conseille fortement, car l'écriture et le style sont fluides, et c'est en effet comme un roman policier, on a envie d'aller jusqu'au bout pour savoir la FIN.
Par Dita
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Publié dans : Mes lectures
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Mercredi 12 mars
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11:12
"Dans la vie, on ne regrette que ce qu'on n'a pas fait".
(Citée par un joli petit couple du sud de la France, je me permets de la déposer ici car c'est tout à fait mon état d'esprit ).
Par Dita
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Publié dans : Pensées du jour
1
Jeudi 6 mars
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06
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10:48
Après avoir
été à l'exposition l'Enfer de la BNF, ce très fameux roman d'Apollinaire a suscité un intérêt pour moi. J'avais déjà entendu ce titre, mais n'en connaissait point le contenu à part
qu'il relatait les péripéties sexuelles d'un hospodar : le prince Vibescu de Bucarest.
Moi qui suis curieuse de toutes les littératures érotiques et pornographiques, je me suis dit qu'il dallait que je le lise... Je l'ai lu jusqu'au bout mais non pas sans effroi et
dégoût.
Pourquoi donc me direz-vous ? Lisez ce qui suit et je vous en dirais plus :
Sado, maso, macho, scato… Qu'on y ajoute encore la lubricité, la perversité, le meurtre, l'inceste… et ça donne un livre-culte longtemps interdit, banni, honni. On a l'impression que
Les onze mille verges de Guillaume Apollinaire qui circulaient sous le manteau au début du XXe siècle a concentré en une centaine de pages la totalité des interdits. Sous la forme
d'un conte hésitant entre la mode orientaliste et la veine du roman populaire, Apollinaire met en scène les voyages, les rencontres et les amours improbables du prince Vibescu, héritier de
l'aristocratie roumaine, se vantant de pouvoir faire l'amour vingt fois de suite. Et s'il n'y parvient pas, que onze mille verges le châtient ! Le moins que l'on puisse dire, c'est que le
conte d'Apollinaire a la santé. On s'y emboîte à qui mieux mieux dans tous les sens pourvu que le plaisir dure et finisse par exploser. Des scènes invraisemblables pourront encore heurter un
lecteur délicat mais le plaisir très rabelaisien de la chair augmenté d'une prose énergique et claquante comme un coup de fouet ravira les vrais amateurs de contes licencieux. --Denis
Gombert
J'ai beaucoup aimé la manière dont cela était écrit, avec des mots anciens qui donne un pouvoir plus qu'érotique à différentes scènes sexuelles, décrites dans la plus pure des beautés
mais aussi des cruautés !
Ensuite, j' ai une âme extrêmement sensible en effet et tout ce qui se rapporte pour moi à l'inceste, au viol, à la scathophilie, à la nécrophilie et au sadomasochisme... provoque en moi un
rejet psychologique et pas moins physique.
Je comprends pourquoi ce livre circulait sous le manteau au début du XXéme siècle : aucun tabou, aucune barrière de morale dans cet écrit. Il reste un chef d'oeuvre certes, mais je
pense que les âmes extrêmement sensibles devront s'abstenir.
D'ailleurs, il va falloir que je me lance dans les oeuvres sadiennes, car je ne connais que peu de choses le concernant et l'exposition de la BNF a veillé une curiosité !
Par quoi vais-je commencer ? Si certains et certaines ont des idées, je suis preneuse.
Par Dita
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Publié dans : Mes lectures
1
Mercredi 5 mars
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05
/03
/Mars
10:38
J'ai découvert ce livre récemment, que j'ai parcouru avec délectation. Je me suis même un peu identifiée à l'héroine par certains aspects de ma personnalité, et de ma vision du libertinage.
C'est doux, chaud, sensuel, écrit délicatement sans vulgarité, et cela vous transporte dans un univers où chacun y règne à sa façon.
J'ai aimé ce livre car c'est le vécu d'une femme célibataire tout comme moi, avec sa vision de femme ; ses peurs, ses envies, ses découvertes et sa fine et non exagérée analyse des situations
qu'elle vit.
Je vous le conseille fortement si vous avez envie de découvrir le monde du libertinage à travers des mots écrits.
Voici le résumé de ce voyage initiatique dans les limbes d'une sexualité différente au centre de la nuit :
Présentation de l'éditeur
Au sortir d'une relation passionnée, Fred découvre la chaleur des nuits libertines parisiennes. Psychanalyste le jour, Fred se laisse aller aux découvertes de ce monde mystérieux dédié au plaisir
des sens. Elle observe ce monde étrange où s'oublient tous les codes du jour, laissant apparaître les bords les plus intimes de la personnalité de chacun. À travers elle, nous pénétrons dans les
lieux les plus torrides de la capitale à la rencontre des plaisirs pluriels de la nuit. Au-delà de tous les fantasmes, les vrais acteurs des nuits libertines du centre le plus sexué de la planète
se retrouvent sous la plume vive et précise de Frédérique Sens qui nous fait découvrir cet univers étonnant voué aux désirs ainsi que sur nos véritables capacités à les vivre. Une femme hyper
féminine, mais aussi une fine analyste capable de lire et de gérer toutes les situations, dévoile tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les nuits brûlantes de Paris. De boîtes échangistes
en soirées privées, Fred se fait notre guide des mœurs actuelles et nous éclaire dans un ouvrage passionnant, sensuel et véridique sur une pratique qui attire de plus en plus d'adeptes. Un
livre-document fort, réaliste qui aborde tous les aspects d'une sexualité du don de soi et de l'échange.
Par Dita
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Publié dans : Mes lectures
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Dimanche 2 mars
7
02
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/Mars
12:52
Il y a quelques années j'avais lu ces premiers romans, ainsi que le très sulfureux "
Baise-moi" adapté au cinéma (vu aussi).
Et voici un nouveau livre que j'avais repéré il y a quelques mois déjà et que j'ai trouvé à l'espace librairie de la BNF.
Le synopsis :
Le nouveau livre de Virginie Despentes n'est pas un roman, mais le récit intime et militant d'une femme née avec la révolution sexuelle à la fin des années soixante. Punkette violée à l'âge de 17
ans par trois banlieusards qui la prennent en stop, prostituée occasionnelle sélectionnant ses clients sur Minitel deux ans plus tard, réalisatrice de 'Baise-moi' qui connut les détracteurs et
les censeurs que l'on sait, Virginie Despentes raconte pour la première fois, avec pudeur et véhémence, comment elle est devenue Virginie Despentes et conteste les discours bien-pensants sur le
viol, la prostitution et la pornographie. Mêlant les réflexions inspirées par la lecture des grandes féministes américaines, méconnues en France, d'Angela Davis à Joan Rivière en passant par Gail
Pheterson et Judith Butler, et les coups de gueule contre la soumission complice de chacun et chacune à un ordre établi dans lequel la répartition des rôles et des pouvoirs interdit
l'épanouissement de tous, ce texte porte sur la féminité et le rapport entre les sexes aujourd' hui.
Mon opinion :
C'est un livre qui a première vue commence étrangement, puis on plonge dans la réalité du vécu de V.Despentes. Dur, violent, réaliste, féministe... Un morceau intime de cette romancière que je ne
connaissais qu'à travers "Les jolies choses, les chiennes savantes et Baise-moi".
J'ai aimé cette mise à nue qu'elle nous offre, certes cela ne plaira pas à tout le monde ! Mais cela change des hommes qui mettent en scène des femmes, ou des femmes qui écrivent trop
"mielleusement" à mon goût.
Bref je l'ai dévoré, et certaines références sont intéressantes à lire et à creuser je pense. Ames puritaines et sensibles s'abstenir...
Par Dita
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Publié dans : Mes lectures
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Samedi 1 mars
6
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/Mars
11:48
J'ai trouvé cette jolie citation sur un site que je côtoie et je vous la fait partager ici même.
Il faut toujours susciter l'envie d'avoir envie, par le désir d'être désiré.
Par Dita
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Publié dans : Pensées du jour
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Vendredi 29 février
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29
/02
/Fév
17:44
Mon coeur est parfois comme la rose...
Il se flétrit.
Mais ma joie de vivre transmise,
Le faire rebattre à nouveau plein de vie.
Mon coeur est parfois comme la rose...
Il se remplit d'épines,
Et ne veut plus etre cueilli...
Mais il suffit de quelques sourires
Pour qu'il renaisse à nouveau...
Par Dita
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Publié dans : Pensées du jour
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